OM 5-2 Paris FC : Aubameyang en feu, Nadir décisif, Marseille se relance !

OM 5-2 Paris FC : Aubameyang en feu, Nadir décisif, Marseille se relance !

Le ONZE DE l'OM fACE AU PARIS FC

Rulli

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Murillo – Egan-Riley – Balerdi – U.Garcia

Hojbjerg – A.Gomes

Gouiri

Greenwood – Aubameyang – T.Weah

Aubameyang se joue d'Otavio sans forcer

Sous un soleil déclinant mais une chaleur toujours estivale, l’Orange Vélodrome a été le théâtre d’une première mi-temps aussi bouillante que son ambiance. Marseille, bousculé mais efficace, mène 2-1 face au Paris FC à la pause grâce à un Mason Greenwood clinique et un Pierre-Emerick Aubameyang étincelant.

Dès l’entame, les Olympiens ont posé le pied sur le ballon dans une configuration très offensive, avec Murillo jouant haut, quasiment comme un ailier droit. Mais ce sont les Parisiens qui se procurent la première grosse alerte : Geubbels, oublié par Balerdi, touche le poteau d’une tête bien sentie. Frisson dans le Vélodrome.

Marseille réagit dans la foulée. Gouiri centre pour Aubameyang, qui voit sa tentative s’échouer… sur le poteau. Deux avertissements de part et d’autre avant le tournant du match. Lancé dans la profondeur, Aubameyang est fauché maladroitement par Otavio dans la surface. Après VAR, penalty. Greenwood, impérial, transforme à contre-pied : 1-0 (17e).

Le Paris FC, loin de sombrer, revient à la charge. Marchetti frôle l’égalisation, puis Ilan Kebbal, formé à Marseille, nettoie la lucarne de Rulli d’un enchaînement somptueux. 2-1 (27e). Entre-temps, Aubameyang avait doublé la mise d’un sublime retourné acrobatique sur corner (24e), prouvant que la classe ne vieillit pas.

Malgré l'avantage au score, l’OM reste fragile. Déjà pris dans leur dos à plusieurs reprises, Garcia, Balerdi et Egan-Riley montrent des signes d’inquiétude. Sur le front de l’attaque, Gouiri se démène mais reste peu servi, tandis que Greenwood décroche pour dynamiser un milieu encore trop stérile.

Le Paris FC, porté par Kebbal et un Lopez disponible, aurait pu recoller avant la pause, mais ni Simon ni Geubbels n’ont réussi à tromper Rulli. La fébrilité défensive des deux camps laisse présager une seconde période haletante.

Le Vélodrome gronde à 2-2… puis la libération

Au terme d’un second acte décousu mais spectaculaire, l’Olympique de Marseille s’impose 5-2 face au Paris FC, grâce notamment à un Pierre-Emerick Aubameyang magistral et à l'entrée décisive de Bilal Nadir. Un succès flatteur pour des Marseillais souvent fébriles.

Le retour des vestiaires n’a pas changé le ton : l’OM domine dans les intentions mais manque de liant, d’animation et d’enthousiasme. Lenteur dans les transmissions, absence de combinaisons dans les couloirs, et un duo Garcia-Weah sans automatismes. De Zerbi, agacé, explose de colère sur le banc. Le Vélodrome s’impatiente.

Ce marasme est logiquement puni : sur une merveille de passe signée Kebbal, Moses Simon ajuste Rulli et égalise (2-2, 59e). Le placement de la défense olympienne, totalement dépassée, est une nouvelle fois pointé du doigt. Les Marseillais subissent, jouent à l’envers, manquent de créativité… jusqu’à l’entrée de Bilal Nadir.

À peine entré, le jeune milieu apporte rythme, percussion et surtout un pressing décisif. Il récupère un ballon mal protégé par Doucet, entré quelques minutes plus tôt côté parisien, et offre sur un plateau le doublé à Pierre-Emerick Aubameyang (3-2, 74e). L’expérimenté Gabonais, toujours juste dans ses déplacements, éclaire le match par sa lucidité et son calme.

Libéré, l’OM pousse. Nadir continue d’illuminer la rencontre par ses prises d’initiative. Il décale Højbjerg, qui d’une frappe puissante scelle le sort du match (4-2, 81e). Une conclusion méritée pour un Danois omniprésent.

La fin de match aurait pu être encore plus lourde pour Paris, si Greenwood n’avait pas manqué un penalty dans les derniers instants, après une percée splendide du jeune Robinio Vaz. Mais ce dernier se fait justice lui même en inscrivant le 5e but de l'OM d'un sublime but à la 96e!
L’OM s'impose et peut remercier ses individualités mais le collectif reste en chantier.