OM : merci capitaine, et bonne route !

OM : merci capitaine, et bonne route !

Un homme qu’on n’oublie pas

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Il y a des joueurs qu’on oublie vite. Et puis il y a ceux qu’on n’oublie jamais, pas parce qu’ils étaient les plus flamboyants, les plus spectaculaires ou les plus "bankables", mais parce qu’ils n’ont jamais triché. Parce qu’ils ont tout donné, jusqu’au dernier souffle. Valentin Rongier fait partie de ceux-là.

Un exemple de loyauté

Son aventure à l’OM touche à sa fin, et il est temps pour moi, en mon nom et peut-être au nom de tous ceux qui aiment ce club, de lui dire merci. Merci pour ces années de loyauté, de dépassement, d’humilité. Merci pour cette attitude toujours exemplaire, sur et en dehors du terrain. Merci d’avoir porté le brassard avec fierté, sans jamais te mettre en avant, mais toujours au service du collectif.

Gagner sa place, encore et encore

Tu n’étais pas forcément attendu à ce niveau-là en arrivant de Nantes. Et pourtant, tu as su faire ta place, saison après saison. Même quand des entraîneurs doutaient de toi, même quand on te préférait un autre au début du championnat, tu ne disais rien. Tu bossais. Et au final, tu finissais toujours titulaire. Parce qu’un joueur comme toi, ça finit toujours par s’imposer. Pas par les mots, par les actes.

Des hauts, des bas, mais toujours droit

Il y a eu des moments forts. Des périodes plus compliquées aussi. Mais jamais une plainte, jamais une polémique. Tu es resté droit. Tu es resté fidèle. On ne parle pas assez des hommes dans ce sport. On parle de chiffres, de mercato, de rumeurs, de stats. Mais derrière tout ça, il y a des êtres humains. Et toi, Valentin, tu en es un vrai. Dans le meilleur sens du terme.

Bonne route l’artiste

Rejoindre Rennes, c’est peut-être la suite logique pour toi. Retour aux sources, à l’Ouest. Un nouveau défi, une autre énergie. Et on ne peut que te souhaiter le meilleur. Parce que tu le mérites. Parce qu’un mec comme toi, on ne peut pas lui en vouloir de partir. On peut juste le remercier d’être resté aussi longtemps.

Un au revoir, pas un oubli

Alors voilà. Merci capitaine. Merci d’avoir incarné une certaine idée du football. Un football de valeurs. Un football de respect. Un football d’engagement. Tu n’étais peut-être pas le plus fort, mais tu étais toujours là. Et pour ça, tu auras toujours ta place dans nos souvenirs.

Bonne route, Valentin. Le Phocéen ne t’oubliera pas.

Sébastien Volpe, directeur