OM-PSG : une rivalité qui transcende les trophées

OM-PSG : une rivalité qui transcende les trophées

Hier, on s’est posé la question. Une question à froid, posée comme un constat douloureux : et si cette rivalité n’avait plus de sens ? Si l’histoire s’était arrêtée quelque part entre les mains d’un Qatar triomphant et celles d’un OM qui s’accroche sans pétrodollars ? Mais ce matin, quelque chose s’est levé. Quelque chose de plus fort que la résignation. Quelque chose d’évident, de brûlant, de vivant.

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Oui, la rivalité existe. Et plus que jamais, elle a du sens.

Parce qu’elle ne se joue pas sur un palmarès. Elle ne se mesure pas au nombre de zéros sur un compte en banque. Elle ne se compte pas en likes ni en followers. Elle vit dans un regard, dans une atmosphère, dans ce frisson unique que seul un OM-PSG peut provoquer. Elle naît à l’instant où l’on sent que ce match-là, ce n’est pas un match comme les autres. C’est une question d’honneur, d’appartenance, d’intensité. Ce sont deux visions du football, deux cultures, deux villes, deux âmes. Et peu importe les classements, elle nous dépasse tous. Oui, Paris a gagné la Ligue des champions. Et c’est un exploit remarquable. Historique. Rien à dire. Rien à retirer. Mais ce n’est pas ça qui efface notre histoire. Ce n’est pas ça qui nous fait douter de qui nous sommes. Nous sommes l’OM. Et ça veut dire quelque chose.

Ça veut dire un peuple entier qui ne lâche jamais.
Ça veut dire un stade plein à chaque rencontre, même quand le ciel est gris.
Ça veut dire des chants, des drapeaux, des visages levés vers une même espérance.
Ça veut dire des soirées folles, des retours impossibles, des colères, des joies, et surtout… des émotions vraies.

On ne construit pas une légende avec des trophées uniquement. On la construit avec du vécu, de l’intensité, de la mémoire. Et de ce côté-là, l’OM n’a aucune leçon à recevoir. Cette rivalité, c’est notre miroir. Parfois cruel, souvent provocant, mais nécessaire. Elle nous pousse à exiger plus. À viser plus haut. À ne jamais nous contenter de peu. Paris a frappé fort. Tant mieux. Ça nous rappelle jusqu’où on doit aller. On n’est pas là pour se consoler. On est là pour repartir. Plus exigeants. Plus solides. Plus fidèles. Parce qu’un jour, ce sera à nouveau notre tour. Et ce jour-là, les poings ne seront pas levés de rage. Ils le seront de fierté.

L’OM-PSG vit toujours. Il palpite. Il bouillonne. Il attend.

Et à Marseille, tant qu’il y aura des enfants pour porter ce maillot, des anciens pour raconter les exploits, et des tribunes pour s’enflammer, cette rivalité ne mourra jamais. Plus que jamais, elle nous rappelle ce que nous sommes et ce que nous avons à redevenir : À jamais les premiers !