OM : Garcia explique comment le stage l’a rapproché de "Jonny" Rowe
Qu’est-ce qui change justement par rapport à quand vous êtes à Marseille ? Qu’est-ce qui est différent dans le fait de partir à Rome plutôt que de rester ici ?
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Ulisses Garcia : "Je pense que la différence, c’est qu’on est tout le temps ensemble, ce qui permet de créer une vraie cohésion de groupe, de construire quelque chose."
Tu parlais du stage et de ce que cela crée en dehors du football, puisque vous vivez ensemble. Parfois, ce genre de stage permet de mieux connaître un coéquipier que l’on voit d’habitude seulement sur le terrain, et cela facilite les liens par la suite. Est-ce que tu peux nous dire qui tu as découvert humainement pendant ce stage, avec qui tu as pu discuter en dehors des entraînements, et où tu t'es dit : « Ah, je ne savais pas qu’il s’intéressait à ça » ? Quelles ont été un peu tes découvertes humaines sur ce stage ?
Ulisses Garcia : "Ok, alors oui, j’ai vraiment pris le temps de parler avec beaucoup de coéquipiers, mais je dirais qu’avec Jonny (Rowe), j’ai découvert quelqu’un que je ne connaissais pas autant mais en tout cas je suis très agréablement surpris par Jonny (Rowe)."
Sur ton positionnement, tu dis que ça ne change pas énormément, sauf qu’il faut être plus vigilant, bien fermer et bloquer l’axe. On remarque que contre Monaco, tu fais un centre qui aurait pu être décisif, mais qui n’est pas allé au fond. Contre Montpellier, tu provoques toi-même le penalty et tu délivres une passe pour Rowe sur ce magnifique but. Comment te retrouves-tu, en partant de l’axe gauche, à terminer les actions presque comme un ailier gauche ? Et comment travailles-tu cela avec Quentin (Merlin), puisque c’est aussi un peu son rôle ?
Ulisses Garcia : "Oui, en partant de derrière, je peux lire plus facilement le jeu, ce qui me permet, lorsqu’on bascule de droite à gauche, de voir à quel moment je peux attaquer l’espace. Et oui, c’est vrai qu’avec Quentin (Merlin) ou les joueurs qui évoluent à gauche, on s’adapte bien à l’entraînement, on travaille très bien ensemble. Des automatismes se créent aussi à ce niveau-là, notamment en phase offensive. C'est quelque chose que l'on peut faire à gauche comme le fait Murillo à droite.
