Mercato OM : De Zerbi donne sa version du départ de Rongier
En plein stage de préparation aux Pays-Bas, l’Olympique de Marseille continue de dessiner les contours de son effectif pour la saison à venir. Après avoir bouclé plusieurs arrivées – Angel Gomes, Facundo Medina, et bientôt Pierre-Emerick Aubameyang – les dirigeants phocéens s’attellent désormais à équilibrer les comptes en actant certaines ventes. Et l’opération la plus significative à ce jour est celle convenue avec le Stade Rennais.
casino de pornic Prime – Vous vous demandez comment tirer profit des primes offertes par Casino de Pornic ? Vous voulez savoir si le site casino-de-pornic.com propose des bonus
Comme annoncé, Rennes va accueillir deux éléments de l’OM : le latéral gauche Quentin Merlin, 23 ans, et le capitaine marseillais Valentin Rongier, 30 ans. Le montant global du deal s’élève à 22,5 millions d’euros, bonus inclus. Si le départ de Merlin était attendu après une saison en demi-teinte, celui de Rongier a de quoi surprendre. Titulaire régulier sous les ordres de Roberto De Zerbi, le milieu de terrain a disputé 27 matchs la saison passée, affichant même un bilan honorable de trois buts et une passe décisive. Mais c’est en coulisses que les choses se sont jouées. Dans un entretien à L’Équipe, De Zerbi a livré les dessous de ce transfert. Selon lui, tout aurait basculé en février dernier. Après la victoire face à Lyon, la direction du club, en concertation avec l’entraîneur, avait proposé une prolongation de deux ans à Rongier. L’offre, jugée sérieuse par Medhi Benatia, a pourtant été refusée par le joueur. Un refus qui a rebattu les cartes. À un an de la fin de contrat, la situation s’est déplacée du terrain vers les bureaux. Pour De Zerbi, ce n’était plus de son ressort.
Malgré l’importance du joueur dans le vestiaire et sur le terrain, l’OM a donc décidé de le laisser partir. Rongier a quitté le stage néerlandais pour passer sa visite médicale à Rennes, où il s’apprête à débuter un nouveau chapitre. Une décision qui divise déjà les supporters bretons, mais qui s’inscrit dans la volonté marseillaise de renouveler en profondeur son effectif.
