OM – 126 ans d’OM : plus qu’un club, une boussole !
On est le 31 août 1899, sur l’acte de naissance, un nom, une ville, une idée simple : jouer, gagner, rassembler. Cent vingt-six ans plus tard, rien n’a vraiment bougé dans le fond. L’Olympique de Marseille, c’est toujours la même vibration qui court du Vieux-Port aux quartiers nord, le même grondement quand le Mistral pousse les chants vers le ciel. L’OM ne fête pas un âge, l’OM rappelle une évidence.
casino lille Prime – Casino Lille Prime : Découvrez Tous les Bonus Exclusifs sur casino-lille-fr.com Vous cherchez un casino en ligne dynamique et avantageux basé à Lille ? Vous
126 ans d’une même idée
Il y a les modes, les cycles, les dirigeants, les entraîneurs et les joueurs qui passent. Et il y a cette phrase qui reste : Droit au but. Elle a traversé les décennies, parfois cabossée, souvent magnifique, mais toujours debout. À Marseille, le football n’a jamais été un décor. C’est un accent, une façon de marcher, une façon de vivre quand la semaine est trop lourde et que le ballon remet tout à l’endroit.
Le club d’une ville
L’OM, c’est la dignité populaire qui refuse de s’excuser d’exister. C’est un stade, le Vélodrome, qui a vu des gamins devenir des hommes et des hommes redevenir des gamins. C’est cette fierté têtue qui ne quémande rien et n’attend que la prochaine soirée pour rappeler au pays que, parfois, la démesure est une qualité. Ici, on ne collectionne pas des souvenirs : on les rejoue. Chaque match remet la pellicule dans le projecteur.
Des visages, des voix
Les noms s’enchaînent, et tant d’autres pourraient être cités. Jean-Pierre Papin pour l’obsession du cadre, Chris Waddle pour l’insolence, Basile Boli pour l’instant qui a suspendu l’Europe, Didier Deschamps pour l’exigence qui ne transige pas. Et après eux, d’autres générations, d’autres visages, d’autres voix, les Balerdi, Greenwood ou autre Aubameyang. Tous racontent la même vérité : à Marseille, on ne joue pas le match, on le vit.
Champion d’Europe, et après ?
On parlera toujours de 1993, et on aura raison. Mais le plus bel hommage à cette histoire, ce n’est pas de l’encenser ; c’est de la prolonger. L’OM n’a pas vocation à devenir une carte postale jaunie. Chaque génération doit trouver sa manière de remettre l’ouvrage sur le métier, d’enchaîner les efforts, de fabriquer sa propre nuit blanche.
Droit au but, hier comme demain
Cette devise n’est pas qu’un slogan : c’est une méthode. Elle impose de choisir l’audace plutôt que l’attente, la verticalité plutôt que la prudence confortable. Elle commande d’assumer la pression, d’aimer cette responsabilité folle qui consiste à porter, chaque week-end, un bout de la ville sur les épaules. L’OM, c’est la promesse faite aux enfants qui tapent contre un mur : tout est possible si tu y vas franchement.
Un anniversaire qui engage
Fêter l’OM, c’est s’engager : dans les tribunes, sur la pelouse, au club, dans la rue. C’est comprendre qu’ici, la fidélité ne se mesure pas aux trophées alignés, mais à la tenue dans les tempêtes. Quand ça souffle, on serre les rangs. Quand ça brille, on n’oublie pas d’où on vient. Voilà le contrat moral.
Alors bon anniversaire, Olympique de Marseille. Qu’on ait 7, 27 ou 77 ans, on sait pourquoi on revient. Parce que ce club est un rappel à l’ordre : jouer simple, jouer juste, jouer fort. Et viser le cadre, toujours. Le reste est littérature.
Bon anniversaire mon OM !
Sébastien VOLPE, directeur du Phocéen
