OM : Balerdi affiche les ambitions et décrypte le système De Zerbi

OM : Balerdi affiche les ambitions et décrypte le système De Zerbi

Quels sont les objectifs du club et du groupe cette saison ? On sent beaucoup de confiance depuis la pré-saison.

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Leonardo Balerdi : L’objectif est d’améliorer constamment, premièrement obtenir une qualification en Ligue des Champions chaque saison. Je veux faire mieux qu’on a fait précédemment en C1. On veut ramener un maximum de points et réduire l’écart avec le PSG.

Comment vois-tu le match contre Rennes demain, surtout face à deux anciens coéquipiers, Valentin Rongier et Quentin Merlin ?

LB : Comme tous les matchs de Ligue 1, je pense que ce sera très, très dur. Rennes a des individualités solides et un bon entraîneur. Ils construisent une équipe intéressante. Nous sommes prêts pour leurs idées. Cette semaine, on a travaillé sur ce qu’ils font bien. Ce sera un duel intense, notamment contre ceux qu’on connaît bien.

Tu en es à ta sixième saison, tu as connu plusieurs évolutions au sein du club, dont celle de capitaine. Comment as-tu vécu ce premier exercice à ce poste et comment envisages-tu la Ligue des champions ?

LB : La première saison n’a pas été simple. J’ai beaucoup appris. J’ai donné tout ce que j’avais. Cette année, c’est différent : je connais mieux ce rôle. Je me sens bien et j’y vais comme j’ai toujours fait. C’est un plaisir d’être ici. La Ligue des Champions est l’une de mes grandes ambitions. Je veux qu’on aille loin.

Que penses-tu du système de jeu avec un bloc haut et les risques qu’il comporte défensivement ?

LB : Oui, avec les recrues on a plus de puissance défensive et on va faire mieux. Mais décider de rester haut, de presser, c’est un choix, un risque calculé : on laisse des espaces, certes, mais aussi on domine. C’est une philosophie qu’on assume, comme le fait le Barça. Le tout, c’est d’être solide et constant, et ça se travaille tous les jours.

Ta capacité à toucher beaucoup de ballons t’a distingué parmi les défenseurs européens. Est-ce une directive tactique ou un choix personnel de développer le jeu court ?

LB : On essaye de maîtriser le jeu. Parfois, j’ai envie de trouver les passes longues parce que je vois les appels. Mais dans ma position, ce n’est pas toujours évident. C’est en partie un choix du coach, c’est aussi moi qui décide : je ne veux pas perdre la balle. J’aime contrôler le jeu. Voilà notre philosophie.

Valentin Rongier était là depuis six saisons également. Que ressens-tu en le voyant dans un autre maillot dès la première journée ?

LB : Quand je l’ai vu dans le maillot adverse, ça m’a touché. C’était étrange parce qu’on se connaît bien. Je suis heureux pour lui, je lui souhaite le meilleur. On est de bons amis, mais demain, ça sera l’adversaire et je veux gagner.