OM : De Zerbi sur Rowe, Aubameyang et les choix tactiques
Roberto De Zerbi, qu'est-ce que vous retenez de ce match et qu'est-ce qui vous a plu ?
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Roberto De Zerbi : On a vraiment apprécié le stade et les supporters. Je pense que nous avons livré une bonne prestation face à une équipe forte, dirigée par l’un des meilleurs entraîneurs d’Europe. Nous avons réalisé une bonne première mi-temps, même si nous aurions pu être un peu plus agressifs sans ballon, plus hauts sur le terrain, comme nous l’avons fait en seconde période. Aston Villa est rarement sortie de notre camp. Nous avons savouré cette atmosphère et ces fans.
On a vu Pierre-Emerick Aubameyang étincelant lors de son entrée. Avez-vous une hiérarchie entre lui et Guiri ? Peut-on les voir évoluer ensemble ?
R.D.Z. : Oui, ils peuvent jouer ensemble, mais cette année il y aura peu d’occasions. Nous disputerons sûrement 43 ou 44 matchs, davantage si nous avançons en Coupe de France ou en Ligue des Champions. Tout le monde jouera. Je ne peux pas donner de pourcentages, mais c’est sûr que Rabiot, Højbjerg, Balerdi, Greenwood joueront probablement plus que d’autres. Je ne me pose donc pas la question de la hiérarchie.
Concernant Jonathan Rowe, très utilisé en pré-saison malgré les rumeurs de transfert, quelle est sa situation à l’OM ?
R.D.Z. : Jonathan est un joueur très fort que nous apprécions tous. Il y a des rumeurs, mais pas sur un club en particulier. Toute décision sera prise conjointement par Pablo Longoria, Mehdi Benatia et moi. Nous verrons ce qui se passera, mais nous sommes tous très satisfaits de lui.
Les matchs amicaux sont aujourd’hui plus médiatisés et disputés dans des stades pleins. Qu’en pensez-vous ?
R.D.Z. : À ce niveau, il n’y a jamais de match amical ni d’entraînement : quand tu portes le maillot, tu dois être à 100 %. Il ne faut pas se laisser piéger, car le match de vendredi sera totalement différent. L’important est de conserver la même attitude, de ne pas jouer de manière superficielle et de ne pas se croire meilleurs que nous ne le sommes. Le résultat, on le verra après, mais l’attitude ne doit jamais être une erreur.
Êtes-vous prêt pour le championnat ?
R.D.Z. : Oui, nous sommes prêts. Le mercato n’est pas terminé : d’autres joueurs arriveront et d’autres partiront. Ce qui m’importe le plus, c’est de ne pas adopter une attitude superficielle et de conserver la mentalité que nous avions l’an dernier, sans les baisses que nous avons connues.
Quels enseignements tirez-vous de cette préparation ?
R.D.Z. : Cette préparation a été très bien organisée par le club, que ce soit en Andorre ou aux Pays-Bas. Maintenant, une semaine de travail intense nous attend.
Ce soir, le match a été intense. Avez-vous été satisfait de la réponse physique de vos joueurs ? Et que s’est-il passé avec Unai Emery à la fin ?
R.D.Z. : Oui, c’était un match chaud et c’était normal : les gens ont payé pour venir, il fallait les honorer. Avec Emery, rien de grave, mais je n’aime pas quand un entraîneur adverse parle à mes joueurs. Moi, je parle aux miens et il parle aux siens.
Pourquoi ne pas avoir aligné Egan-Riley, prévu pour remplacer Medina suspendu ?
R.D.Z. : Je voulais Medina à gauche car je m’attendais à une grosse pression d’Aston Villa et je préférais un gaucher. CJ a joué 45 minutes, c’est un joueur intelligent, mais j’ai choisi Facundo Medina et Balerdi. À Rennes, il jouera probablement.
Concernant le couloir gauche, entre latéral et piston, comment analysez-vous ce poste ?
R.D.Z. : Murillo ou Nadir peuvent jouer à ce poste, mais face à un joueur très rapide, je ne voulais pas mettre Nadir en difficulté défensive. Ce ne sont pas vraiment des pistons : ils rentrent plus à l’intérieur. Sur les lignes hautes, je veux des joueurs capables de dribbler en un contre un, comme Greenwood ou Rowe. En première mi-temps, la circulation de balle a été trop lente ; en seconde, c’était bien mieux. On peut défendre à 4 ou construire à 3 derrière selon les situations et les joueurs disponibles.
