OM : De Zerbi verrouille son vestiaire et défend son identité

OM : De Zerbi verrouille son vestiaire et défend son identité

Coach, vous avez conservé vos cadres — on parlait de Rongier, mais à part lui, les autres sont encore là : Højbjerg, Rabiot, Rulli, Balerdi, Greenwood. Est‑ce un succès de les garder ? Une preuve d’ambition ? Et est‑ce définitif ? Craignez‑vous des mauvaises surprises avant la fin du mercato ?

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RDZ : Concernant ces éléments comme Rabiot, Rulli, Greenwood, c’est important, non seulement pour moi mais aussi en perspective de la Coupe du monde, pour eux-mêmes. Quitter Marseille, c’est facile, mais retrouver un cadre similaire est compliqué. Lorsqu’ils partent, ils savent ce qu’ils laissent derrière eux. Ils ont voulu rester malgré tout — cela nous rend vraiment heureux, cela nous rend fiers.

Pouvez-vous nous dire quels joueurs sont à votre disposition ou absents ? Medina, Paixão — sont-ils les seuls absents, ou y en a-t-il d’autres, s’il vous plaît ?

RDZ : Exactement. Paixão est toujours blessé, et Medina est suspendu. Pour le reste, tout le monde est disponible.

Pour la suite, allez-vous continuer avec vos joueurs ? Et est-ce que certains éléments de l’identité construite dans le vestiaire peuvent aussi être repris au Vélodrome par les supporters, notamment le Chi Siamo ?

RDZ : Ces choses-là doivent rester au vestiaire, c’est quelque chose qui est né à l’intérieur — notre identité ne varie pas selon le championnat. Une fois qu’on la trouve, qu’on la construit, c’est quelque chose qui nous reste. Il faut comprendre qui nous sommes. Cela permet de nous retrouver en tant que joueurs, puis d’aller au stade après le travail quotidien en essayant d’obtenir un résultat.

Je repose la question car vous aviez donné une bonne réponse plus tôt : sur la notion de « qui nous sommes », que vous aviez instaurée — continueriez‑vous cela, et le public pourrait-il l’adopter au Vélodrome ? Est-ce une chanson, une phrase, un cri pré-match que vous aimeriez voir repris ?

RDZ : Je sais ce que j’ai à faire dans le vestiaire, c’est ma responsabilité. Le stade, ce n’est pas ma responsabilité. Mais jouer au Vélodrome, devant nos supporters, c’est un plaisir pour les joueurs. Avant tout, il y a l’aspect humain, émotionnel, ce sentiment d’appartenance. Cela ne change pas d’une saison à l’autre.