OM : Véronique Rabiot remet en cause la version de Pablo Longoria
Après avoir parlé à RTL mardi, Véronique Rabiot a remis ça ce jeudi. Elle est revenue sur l’incident survenu entre son fils, Adrien Rabiot, et l’ailier anglais Jonathan Rowe dans le vestiaire de l’OM, après la défaite à Rennes le 15 août dernier. Alors que le président Pablo Longoria avait évoqué une "violence inouïe" pour justifier la mise à l’écart des deux joueurs, la mère et agente du milieu de terrain remet en cause cette version : "Je n’y crois pas. Il n’y a eu ni blessé, ni intervention médicale, alors de quoi parle-t-on ?"
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Un incident reconnu, mais jugé exagéré
Si elle ne conteste pas l’existence d’un accrochage, Véronique Rabiot tient à relativiser les faits. Pour elle, l’expression employée par le président de l’OM ne reflète pas la réalité de la scène. Elle souligne notamment la présence du coach et du directeur du football Medhi Benatia dans le vestiaire au moment des faits, questionnant leur silence si la situation avait réellement été si grave. "Personne n’est intervenu, c’est bien qu’il n’y avait pas de danger immédiat", avance-t-elle.
Une mise sur le marché qui interpelle
L’incident a conduit à une décision forte de la direction olympienne : les deux joueurs ont été placés sur la liste des transferts à dix jours de la clôture du mercato. Une mesure qui pourrait cacher une volonté plus profonde de remodeler l’effectif. Pour Rabiot, cette mise à l’écart soudaine après un simple accrochage interroge sur la véritable intention du club. Il reste à savoir si un départ du joueur de 30 ans sera acté dans les prochains jours.
Quelle suite pour Rabiot à l’OM ?
Avec un statut de joueur expérimenté, Rabiot était censé être un cadre de l'équipe. Sa mise à l'écart, si elle s'avère définitive, pourrait rebattre les cartes dans l'entrejeu marseillais. La fin du mercato pourrait donc s’agiter dans les bureaux du club, entre possibles recrues et départs précipités.
